Lorsque la nuit vient cliquez sur l’image pour lire le texte de cette aria
28 juillet 2011
Une aria pour soprano, extraite de l'opéra "Le Lac", Acte II, scène 5, sur un livret de Tilda REINITZ ;
Lorsque enfin la nuit vient, j'ose alors me regarder sans témoin. Lorsque enfin la nuit vient, j'ose alors me libérer de mon carcan. Là, je laisse couler mes larmes. Là, je confie mon chagrin à l'astre blanc.
Dans la nuit, le silence, seule, je me mets à rêver, à espérer. Loin de cette terre ingrate, loin de ce corps à jamais étranger.
Lorsque enfin la nuit vient, j'ose redevenir celle qui aimait (...)
La complainte d’Iris cliquez sur l’image pour lire le texte de cette aria
28 juillet 2011
Une aria pour soprano extraite de l'opéra "La Digue", Acte II, scène 2, sur un livret du compositeur.
Humble femme je suis née et telle je mourrai.
Les caprices du ciel, le fleuve, sur ces mains ont creusé leurs sillons.
Les trésors dont je suis gardienne sont les fleurs du vent, arrachées aux blés d'or des champs.
Je n'ai jamais souri aux nuages, courbée sous l'araire, arrachant mon aumône aux champs.
Mon visage, du labeur de la terre, porte les saisons.
A la nuit, je confie mes tourments.
Mon (...)
L’adieu d’Elvire cliquez sur l’image pour lire le texte de cette aria
28 juillet 2011
Une aria pour soprano, extraite de l'opéra "Le Lac" (acte II, scène 4), sur un livret de Tilda REINITZ.
Assieds toi près de moi, ferme les yeux. Ton coeur te révèlera ce qui ne se voit ni se pense. Demande toi par quel miracle as-tu pu me regarder ! Dieu dictait, tu écrivais l'histoire d'un homme autrefois effrayé par les âmes tourmentées, mais, offrant son coeur, il se racheta par amour.
Regarde autour de toi : tout s'estompe, n'est que songe. Quand tu t'éveilleras, sur tes lèvres, ce poème sera (...)
Il lui disait,... Cliquez sur l’icône de gauche pour lire le texte complet de cette mélodie.
4 août 2006
Texte du poème de Victor Hugo, mis en musique par Yves Rinaldi et interprété par la soprano Aurélia Legay.
Il lui disait : "Vois-tu, si tous deux nous pouvions, L'âme pleine de foi, le coeur plein de rayons, Ivres de douce extase et de mélancolie, Rompre les mille noeuds dont la ville nous lie ; Si nous pouvions quitter ce Paris triste et fou, Nous fuirions ; nous irions quelque part, n'importe où, Chercher loin des vains bruits, loin des haines jalouses, Un coin où aurions des arbres, des pelouses, (...)